Un p’tit truc de Capt’ JZ

JackZ

PILOTE DE DRONE
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Allez je suis d’humeur généreuse, je vous donne un p’tit truc que j’utilise pour tous mes vols: Une sorte de “pense-bête“ de petite taille , plié juste à la bonne taille pour être placé devant les manettes de gaz et juste avant le panneau ECAM.

Préparé à l’avance, il récapitule toutes les information utile au vol qui sont disséminées un peu partout dans le plan de vol (OFP).

Pas obligatoire ça me fait gagner beaucoup de temps, et l’avantage c’est que placé où il est entre les deux pilotes, on peut facilement partager les infos communes telles que :
- heures bloc/décollage/atterrissage/bloc
et l’indicatif d’appel du vol.
- ATIS départ (case blanche en bas à G) et ATIS arrivée (case blanche en bas à D).
- Fuel pour le vol (trip) et le taxi
- TOW (et THS)
- FL de croisière
- Durée estimée du vol
- ETD Heure de départ estimée.

Quand je suis PM je remplis ainsi les cases des heures, et PF les ATIS départ/arrivée qui deviennent immédiatement disponibles pour le captain sans rien dire, le papier étant accessible aux deux.

Voilà mon modèle, expurgé des infos compagnie (immatriculation et noms des pilotes). C’est celui de mon vol d’aujourd’hui
Ce n’est pas obligatoire, chacun fait son format et utilise la disposition qui l’arrange.
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Au verso, il y a bien évidemment le vol retour.
 
Dernière édition:
À l'époque où on imprimait encore les OFP, j'imprimais la première page de chaque vol au format 4 pages par feuille. Plié en 4, c'est le format parfait pour le mettre sur le yoke. Tu y retrouves toutes les infos importantes pour chaque vol.

Depuis, j'ai appris à vivre sans 😉

Amic

Tim
 
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Lors de la visite prévol du A320 d’aujourd’hui, la maintenance avait ouvert la soute avionique, et j’ai pu prendre une rare photo de celle-ci.

A gauche on trouve tous les ordis de gestion du vol, FAC, ELAC et autres SEC, plus toute l’avionique sauf le radar qui est dans un autre compartiment plus en avant. L’ensemble est “rackable”, c’est à dire que pour changer un des composants, on dévisse deux vis, on tire la poignée et hop, ça vient tout seul. Rien à brancher/débrancher, tout se fait via des connecteurs à l’arrière.

Le gros boîtier rouge à droite c’est la ventilation avionique. Et la valise noire devant contient tous les papiers officiels de l’avion.
 
Dernière édition:
À l'époque où on imprimait encore les OFP, j'imprimais la première page de chaque vol au format 4 pages par feuille. Plié en 4, c'est le format parfait pour le mettre sur le yoke.

Tim
Excellente idée.
Avion "antique", pilote inclus. j'utilise aussi l'imprimante, mais à bord! :LOL:




printer.jpg


printer1.jpg
 
Salut JackZ,
C'est un instructeur d'Aero-pyrénées il y a fort longtemps pendant l'apprentissage de l'IFR qui nous faisait remplir un papier nommé carton de décollage et un d'atterrissage du même genre que ton PQ et que j' accrochais au manche du Seneca au dessus des jepp.
Amic JC
 
Oui c’est effectivement l’idée du “PQ” comme tu dis….
Chez AF il y a longtemps ils avaient un carton de décollage avec les vitesses V1, Vr, V2 et distances décollage atterrissage, posé également juste devant les manettes.

ci joint copie des cartons pour le Concorde
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source concorde.doc.free

Maintenant on a tout sur l’iPad, c’est moins glamour…
 
Dernière édition:
D’un point de vue opérationnel, l’information à noter n’est pas celle des cartons de décollage.
On a chacun ces infos (V1, Vr et V2, TOW) sur nos iPad respectifs, infos déjà entrées dans le MCDU et crosschecké.

Ce qui est intéressant ici (a mon sens) ce sont les paramètres variables utilisables pour le remplissage de l’OFP (Operational Flight Plan), histoire de les regrouper en un seul endroit:
- Heures bloc, Take off, Landing et Bloc
- ETD
- Callsign (qu’on trouve aussi dans le MCDU) mais ça évite de chercher)
- ATIS départ et Arrivée
je rajoute aussi les codes IATA et OACI des aéroports de départ et d’arrivée ainsi que l’alternate, car si le Jeppesen utilise les codes oaci, l’appli Flysmart utilise les codes IATA pour les aéroports et mémoriser tout ça ne sert à rien.

Plus les trigrammes (code compagnie sur 3lettres) des membres d’equipage, car comme on vole à chaque fois avec un Cdb différent, retenir son trigramme encombre la mémoire pour rien.

Et mine de rien, en tant que PM, on doit rentrer le trigramme en question au moins six ou sept fois dans l’OFP et l’ ETL (electronic tech log).

Toute la paperasse se fait via des tablettes/appli dédiées, y compris le techlog.
Ca fait gagner du temps à la compagnie, mais le pauvre PM galère avec des centaines de champs de formulaires à rentrer et à signer digitalement.

Le “zéro papier” a bon dos, la charge de travail est transférée sur les équipages.
 
D’un point de vue opérationnel, l’information à noter n’est pas celle des cartons de décollage.
On a chacun ces infos (V1, Vr et V2, TOW) sur nos iPad respectifs, infos déjà entrées dans le MCDU et crosschecké.

Ce qui est intéressant ici (a mon sens) ce sont les paramètres variables utilisables pour le remplissage de l’OFP (Operational Flight Plan), histoire de ....... Le “zéro papier” a bon dos, la charge de travail est transférée sur les équipages.g

Ça me rappelle toutes les factures "immatérielles" qui sont stockés chez LE Vendeur et qui sont faciles à retrouver ... A condition de te connecter ..... 🥵🤯🤬.... dès que tu t'es souvenu du fournisseur, de ton identifiant (identifiant souvent sur la facture que tu veux consulter 😫)
du mot de passe forcément oublié si c'est un fournisseur occasionnel .... En moins d'une demi heure tu y arrives, contre les 5 mn suffisantes en cherchant dans tes classeurs papiers ....
 

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