Passer le PPL si on a peur de l'avion

Phobique a se point c'est se mettre en danger sur un vol solo ou avec d'autres personnes tu peux avoir crise de panique, et tu ne pourras jamais faire de vol solo, je vois pas linstructeur te lacher si tu flippes des turbulences, tu peux etre tetaniser et te tuer

on aimerait tous savoir faire plein de truc mais des fois faut se dire que c'est pas pour nous!
 
je ne suis pas d'accord on peut tous vaincre ses peurs il faut y aller par petis pas. Va dans un aeroclub discuter avec les gars, une autre fois tu fais un vol dinitiation, deja la tu seras fixés. Se reposer sur une unique mauvaise experience c'est dommage. Essaye une fois un pack cad'eaux de 1h :)
Pour regler ce probleme pas de fatalite, tu prends ton courage a deux mains et tu essayes. Ca se trouve tu seras un excellent pilote
 
Tu dis que c'est pas fait pour lui et apres tes pas d'accord faut savoir!!! Tfacon sil n'y va pas de lui meme affronter ses peurs il ne passera jamais le ppl. Et puis c'est pas hyper important dans lavie, c'est juste une activite comme si tu fait du sport.
 
Chaque jour ou tu prends la route en voiture, tu risques de faire partie des 10 morts journaliers ......et tu continues quand même ...
Si maintenant tu rajoutes les attentats....
Tu prends l'avion bien moins souvent .....
Moi aussi j'étais malade à  l'idée de prendre l'avion et puis ça ma passé quand j'ai pris conscience des risques journaliers que je pren'ais sur la route (30.000 à  40.000 km/an pour mon job)
Cela ma beaucoup aidé à  vaincre mes angoisses....non justifiées
 
les gens ont peur de l'avion parcequ'il ne save pas comment vole un avion, pour Silverstar c'est un autre cas. Verifier le nom de la compagnie...c'est une ps'ychose qu'il faudra tot ou tard resoudre, sinon tes bloque tu niras jamais au US, en Australie tu prendras toujours ta bagnole et le train....
 
Pas peur car je sais que ce sont des vents qui te tirent en haut ou en bas, on croit qu'on tombe mais pas du tout. Et puis tu ne tombe pas non plus de dix metres
 
En premier lieu les"trous d"air" n'existe pas vraiment , il faut parler de turbulences, ensuite ce sont des phénomèmes â ne pas nègliger, certain de ces faits ont même provoqué des morts parmi les pax.
Rassurrez vous les avions ne tombent pas mais quelques cas de multiples blessés ont été causés par ces turbulences.
Si ont a pas besoin de se déplacer, on reste attaché, cela évite de se retrouver au plafond ! De même vérifiez toujours que les coffres à  bagages autour de votre tête sont bien verrouillés. Les blessés et morts sont des personnes qui n'était soit pas attaché, soit percuté par les bagages qui de trouvaient dans des coffres mal fermés.
Vous pouvez traverser une zone de trés forte turbulence innatendue alors que latmosphère et le vol était paisible la seconde davant.

Cela arrive assez rarement mais ça existe on peut perdre 150 ft en instantané sans que rien ne le laisse prévoir - raison pour laquelle il ne coute rien de garder votre ceinture (en la desserant légèrement pour plus de confort si vous voulez)

Que tout ceci ne vous empêche pas de voyager serein.
 
150ft? c'est enorme...les trous d'air (c'est pour eviter de dire les masses d'air qui changent de sens...ca fait plus court)

Donc les trous d'air me font penser aux tours ascentionnel style Skyfall a la foire du trone, en avion la descente est moins longues mais par a coup. On descend un peu, on remonte, on redescend...neanmoins les descentes restent franche

La difference avec l'avion c'est que tu payes pour avoir des descentes ascentionnels

skyfall.jpg
 
Pour lhistoire .... Dramatique
Septembre 96 , vol AF Johannesburg - Paris .

Un 747 a été pris dans de terribles turbulences au dessus de lAfrique, en quelques secondes, les coffres se sont vidés sur les passagers, les écrans cinémas se sont décrochés emportant certaines parties des revêtements plafond (en 96 pas de LCD mais de bon vieux TV cathodiques) de nombreux bléssés, am'enant un atterrissage en urgence sur Marseille (malheureusement un bléssé na pas survécu et est décédé à  lhopital) - extérieurement aucun dégats mais lexam'en des boites noires indiquait des accèlerations de - 1,10g à  + 2,10 ( on parle là  d'un 747 ! ) - les radars météo ét'aient en panne et c'étais de nuit .
Depuis cette date certaines procedures ont été reconsidérés.

Guy.
 
J'ai deja remarquer des pertes de portance au decollage, c'est assez flippant puisque le sol n'est pas trop loin.
Pour les gars qui ont leur PPL ou on deja fait des vols en aeroclub, les trous d'airs ont les ressent plus que sur les gros avions?
 
A priori tu as des secousses de faibles amplitudes mais trés nerveuses, pratiquement 90% dans le plan horizontale, et tres peu en vertical, j'ai trés peu volé hors Paca et mon expérience est donc limitè à  ma règion.
Ici le Mistral règne en maitre, vent trés violent en rafale innatendues .... Ce qui moblige à  parler uniquement de ce que je connais. C'est un peu comme quand tu arrives assez vite sur une zone non bitumé de route en travaux, ou si confortablement installè sur ta chaise de bureau (à  roulettes) on arrive par derriere sans prévenir et que lon te secoues en tous sens.

Maintenant il faut que tu ailles dans un aèroclub négocier pour faire un petit vol. Explique bien que tu es angoissé à  l'idée de monter dans l'avion afin de bénéficier d'un vol doux et réalisé en souplesse.
Le fait d'être à  proximitè du pilote tu VERRAS ses actions et tu les ressentirras ( dans un vol commercial tu n'est qu'un vulgaire colis qui travaille son imagin'aire) - le pilote pourra méme te confier quelques instants les commandes (aucun danger : dont forget - double commande ) afin que tu ai un retour de ce qui se passe !
Négocie pour faire juste 1 voire 2 ou 3 tours de pistes - cela te rassurrera de rester à  proximité du lieu de ton retour, et si tu ne le sent pas (le vol) tu SAIS que tu es à  5/10mn du retour, - Aprés 1 tour de piste tu seras peut-être prêt pour un second, un troisième voir demander à  sortir de la zone du terrain et demander un éloignement.
Refuse l'idée de faire un trajet ou un petit voyage, tu vas angoisser à  lavance d'être contraint de rester en l'air contre ta vol'ontè "si longtemps" - par la suite si ton inconscient a été rassuré par les tours de pistes tu pourras éventuellement faire plus.

FAIT LE - Tant que tu nauras pas essayé ça va te tarauder - Dailleurs ça a déjà  commencé.

Guy :)
 
Le "trou d'air" n'existe pas!. Lavion passe dans des masses d'air non homogènes et c'est tout
Réfléchis bien quand tu prends ta voiture sur une route même lisse tu es autant ballotté que ce que tu crains en avion et pourtant tu n'as pas la trouille !

https://www.youtube.com/watch?v=WV3-ukZWd9I
 
Jack ....alors alors c'est ce que je dis plus haut ....enleves la confiture des l'unettes :) :)
 
ooops, en fait c'est pour tartiner plus épais la tartine de notre ami rétif !!

Tu sais quand je suis à  larriere et surtout de nuit sur les transats , jadore les turbulences...ca berce et tous les bavards invétérés se t'aisent soudain ...mmmm...cébon! :cool:
 
Pour le coup les invétérés se ramollissent et deviennent des invertébrés
 
Ok les gars j'irais voir Roger un de ces 4 matins

Jackpilot a dit:
Le "trou d'air" n'existe pas!. Lavion passe dans des masses d'air non homogènes

Oui je sais on a juste préféré employé ce mot pour éviter de dire "les masses d'air non homogènes...blabla" mais sil faut appeler un chat un chat on va le faire
 
Bon ben puisqu'on en parle connaissez vous un bon aeroclub dans les Yvelines pres de Mantes la jolie? Que pensez vous de Roger Janin aux mureaux? Ca fait 20 min de chez moi. Je prends des renseignements, rien est encore décidé de quand et comment je tate juste le terrain pour l'instant.
 
Si tu arrives à  vaincre ta peur, tu prendras du plaisir à  voler, c'est un état desprit! Je crois aussi que le fait de maitriser est super important... anecdote:
Je me souviens encore du début de mon instruction, j'avais pas peur du tout jusqu'au jour ou mon instructeur a commencé les "stalls" (décrochages), il m'avait pas expliqué avant comment cela se passait, bref, c'étais une "approach to landing stall" (la pire des deux: on coupe les gaz, on descend les flaps, on tire le manche jusqu'au décrochage), quand cela a décroché, il avait pas compensé au rudder et laile gauche à  décroché en premier, en plus d'avoir lestomac qui me remont'ait, j'ai failli avoir la joue qui tape contre la verrière... les leçons suivantes, j'avais une énorme apprehension de devoir faire lexercice, j'en ai fait des cauchemards... juquau moment où j'ai maitrisé et la j'ai commencé à  y prendre du plaisir, j'enchain'ais les stalls en essayant de perdre le moins dalti possible, comme un jeu... après, on s'est attaqué aux "spins" (vrille), c'étais le cran au-dessus, mais rassure-toi, même sur 737, les pilotes ne voient pas les vrilles dans le cadre de linstruction... après, j'ai plus jamais eu peur, même mon 1er solo, c'étais sans peur et avec la banane :)
Bref, lance-toi et raconte-nous
 
Aucun doute là  dessus tu sens bien qu'il y a une "anomalie" et au début tu es heureux d'être avec linstructeur .. :eek:
 
Pas très rassurant tout ça mais passage obligé...en faite tu tombes dans le vide quelques secondes, le temps de ne plus etre en décrochage (vous me faites peur).
 
Non, c'est l'avion qui tombe quelques secondes, le temps de récupérer, mais pas toi ;)
Tu tentraines en fait à  sentir le décrochage arriver (les commandes deviennent molles, lavertisseur commence à  résonner à  tes oreilles pour bien te stresser ;) tu dois tirer de plus en plus sur le manche pour rester droit, puis tout d'un coup, c'est assez brutal, l'avion arrête de voler, généralement laile gauche avant la droite sur les mono-moteurs avec lequels tu débuteras et tu dois compenser avec le rudder droit, et là , tu tentraines à  récupérer en perdant le moins dalti possible, mais dès que tu contrôles, cela devient un jeu :)

Pour pas stresser, lorsque tu en seras là , demandes à  ton instructeur de commencer par les "departure stalls", tu simules une perte de vitesse au décollage, donc avec les gaz à  fond et tu récupères cela beaucoup plus vite avec le nez qui pique moins vers le sol que les "approach to landing stalls", en plus, tu dois pas toccuper de remonter les flaps durant la récupération et l'effet dapesanteur est beaucoup moins prononcé.

Silverstar a dit:
:rolleyes: Donc tu tombes et tu sens le décrochage pour tentraîner?
 
Et beh tu vois rien que pour ça je serais incapable de passer le PPL. C'est pas une question de théorie et dapprentissage de manuel parceque je m'en sens capable. Mais l'avion évolue dans le ciel (pas le choix), j'en ai très envie...mais je flippe à  mort des turbulences, secousse, décrochage.

Je sais pas si on peut guérir de ça
 
Rassure toi tu as du buffeting (vibration) qui prévient et puis quand tu en seras à  ce stade tu auras plusieurs heures de vols à  ton crédit .
Le décrochage c'est pas prévu dans les heures de prise en main, on te met en situation de décrochage quand tu as une certaine maitrise de ton avion (sinon ça ne servirait à  rien) - (ou instructeur sadique !)
Quand tu as passé ton permis on ne te t'as pas fait faire un créneau en marche arrière en montée dans les premières heures de conduite - à  moins que tu ne lai jamais passé

Guy
 
Je suis convaincu que la peur disparait dès que tu maitrises, et tu verras, les premières leçons, tu as tellement de choses à  penser au niveau pilotage, que tu n'as pas le temps d'avoir peur ;)
 
jetstream a dit:
tu dois tirer de plus en plus sur le manche pour rester droit, puis tout d'un coup, c'est assez brutal, l'avion arrête de voler, généralement laile gauche avant la droite sur les mono-moteurs avec lequels tu débuteras et tu dois compenser avec le rudder droit,

Permet moi de donner un avis différent pour ne pas effrayer notre ami.. :)
Ce que tu décris là  se passe pour un décrochage avec puissance et correspond a un départ de vrille, puisqu'il y a correction au palonnier.
Windy, un décrochage moteur au ralenti (technique initiale pour comprendre le décrochage) na rien de brutal, l'avion prévient (buzzer) et reste à  plat, le nez sabaisse "sans brutalité" tu cesses de tirer sur les commandes et il va reprendre son vol pratiquement tout seul. Pas plus violent qu'un dos dâne imprévu en voiture.

jetstream a dit:
demandes à  ton instructeur de commencer par les "departure stalls", tu simules une perte de vitesse au décollage, donc avec les gaz à  fond

Non parce que là  c'est brutal , en raison du couple de lhélice l'avion bascule et il faut contrer au palonnier et rendre du manche tres rapidement.
A ne pratiquer que par la suite, une fois aguerri.

C'est du moins ce que nous pratiqu'ons en instruction ici..
Jack
 
Même chose pour nous le décrochage en puissance, c'est vraiment quand tu es trés proche de ton exam'en final ... ce qui veux dire que que tu as dèja fait tes nav solo ... et tu es quand même bien aguerri.

Sinon c'est effectivement gaz réduit et action à  tirer sur le manche ....d-o-u-c-e-m-e-n-t ..... jusqu'au buffeting (ressentit comme un velomoteur en panne dessence - petites secousses) tu repousses ton manche et tout rentre dans l'ordre .
Surtout pour tamener au bon réflexe : perte de portance = je repousse le manche


M
 
C'est clair que si on rattrape le décrochage dès le début, c'est tout en douceur, mais mon lors de mon écolage, mon instructeur mobligeait à  attendre le décrochage complet avec le nez qui pique bien vers le sol avant de récupérer... cela explique pourquoi le décrochage en puissance me stressait moins que celui au ralenti
 
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